Le dernier bulletin de santé publié par l’ONU la semaine dernière sur l’état de la couche d’ozone met en avant les effets bénéfiques du protocole de Montréal (1987), dont le but était de limiter l’usage de substances destructrices d’ozone à l’image des chlorofluorocarbures (CFC). Petit à petit, les trous se bouchent, mais il faudra encore attendre de longues années pour parler de totale rémission.
Pas de reconstitution significative avant 2050
Le but de la communauté internationale a toujours été de ramener la couche d'ozone à son état du début des années 80, quand l’industrie ne faisait pas usage des CFC. La projection la plus optimiste de l’ONU fixe la réalisation de cet objectif à l’horizon 2050. Pour Geir Braathen, responsable scientifique à l'organisation mondiale de météorologie, l’amélioration observée jusque-là «n’est pas énorme». La concentration dans l’atmosphère des composés chimiques destructeurs d’ozone a diminué de 10 à 15%. Le déclin aurait réellement commencé vers l’an 2000, tout en sachant que ces composés chimiques ont une très longue durée de vie dans l’atmosphère. Certains composés comme le CCI⁴, ont tendance à diminuer beaucoup plus lentement que prévu. Dans un monde idéal, en bannissant toute production industrielle et en récupérant tous les résidus de CFC (dans les appareils électroménagers par exemple), la reconstitution de la couche d’ozone progresserait 11 fois plus vite.
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Pas de reconstitution significative avant 2050
Le but de la communauté internationale a toujours été de ramener la couche d'ozone à son état du début des années 80, quand l’industrie ne faisait pas usage des CFC. La projection la plus optimiste de l’ONU fixe la réalisation de cet objectif à l’horizon 2050. Pour Geir Braathen, responsable scientifique à l'organisation mondiale de météorologie, l’amélioration observée jusque-là «n’est pas énorme». La concentration dans l’atmosphère des composés chimiques destructeurs d’ozone a diminué de 10 à 15%. Le déclin aurait réellement commencé vers l’an 2000, tout en sachant que ces composés chimiques ont une très longue durée de vie dans l’atmosphère. Certains composés comme le CCI⁴, ont tendance à diminuer beaucoup plus lentement que prévu. Dans un monde idéal, en bannissant toute production industrielle et en récupérant tous les résidus de CFC (dans les appareils électroménagers par exemple), la reconstitution de la couche d’ozone progresserait 11 fois plus vite.
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