Bansi a connu une phase d'intensification assez remarquable passant du stade de tempête tropicale modérée dimanche matin à 10h00 au stade de cyclone tropical très intense (CTTI) aujourd'hui (mardi) à 7h00.
Le système a connu une phase d'intensification lente entre vendredi et dimanche. Un cyclone de cette taille prend du temps pour s'organiser. De plus, le cisaillement était assez fot empêchant l'intensification immédiate. Depuis dimanche donc, l'intensification est plutôt continu,le système dépressionnaire profitant de conditions environnementales très favorables (bon potentiel thermique de l'océan >28°C / bonne divergence / cisaillement faible...).
A l'heure actuelle le CTTI Bansi se situe à environ 435 km de la Réunion et se déplace lentement vers l'Est à 7 km/h. La pression au centre du phénomène est de 923 hPa. Pour comparer le CTTI Dina avait une pression minimal au centre estimée à 910 hPa. Au sein du CTTI Bansi, les vents les plus violents atteignent les 260 km/h et les rafales dépassent 290 km/h.
Mais son intensité maximale n'est pas atteinte selon le JTWC qui prévoit une poursuite de l'intensification durant la journée avant de comerncer s'affaiblir demain. Le JWTC prévoit un phénomène avec des vents de l'ordre 280 km/h et des rafales dépassant les 330 km/h. Si ces prévisions se réalisent on pourra qualifier ce phénomène "d’extrêmement dangereux" pour quiconque se trouverait sur son passage.
Toujours selon les prévisions du JTWC le CTTI Bansi devrait continuer à avancer lentement, restant ainsi dans les parages nord de l'île Maurice à environ 200 km, au moins jusqu'à demain (le 14), avant de descendre vers le Sud Est.
A priori pour l'heure, et toujours en tenant compte des prévisions du JTWC, Maurice qui est la plus concernée par ce phénomène devrait rester à l'écart des vents les plus violents. Mais un certain doute persiste quant à la trajectoire du CTTI, témoin la zone d'incertitude sur la carte de prévision du JTWC qui part de la Réunion jusqu'au delà de Rodrigues.
On reste donc prudent car tout peut arriver avec des systèmes très puissants qui peuvent dans certains cas modifier leurs environnements et donc leurs trajectoires.
Le système a connu une phase d'intensification lente entre vendredi et dimanche. Un cyclone de cette taille prend du temps pour s'organiser. De plus, le cisaillement était assez fot empêchant l'intensification immédiate. Depuis dimanche donc, l'intensification est plutôt continu,le système dépressionnaire profitant de conditions environnementales très favorables (bon potentiel thermique de l'océan >28°C / bonne divergence / cisaillement faible...).
A l'heure actuelle le CTTI Bansi se situe à environ 435 km de la Réunion et se déplace lentement vers l'Est à 7 km/h. La pression au centre du phénomène est de 923 hPa. Pour comparer le CTTI Dina avait une pression minimal au centre estimée à 910 hPa. Au sein du CTTI Bansi, les vents les plus violents atteignent les 260 km/h et les rafales dépassent 290 km/h.
Mais son intensité maximale n'est pas atteinte selon le JTWC qui prévoit une poursuite de l'intensification durant la journée avant de comerncer s'affaiblir demain. Le JWTC prévoit un phénomène avec des vents de l'ordre 280 km/h et des rafales dépassant les 330 km/h. Si ces prévisions se réalisent on pourra qualifier ce phénomène "d’extrêmement dangereux" pour quiconque se trouverait sur son passage.
Toujours selon les prévisions du JTWC le CTTI Bansi devrait continuer à avancer lentement, restant ainsi dans les parages nord de l'île Maurice à environ 200 km, au moins jusqu'à demain (le 14), avant de descendre vers le Sud Est.
A priori pour l'heure, et toujours en tenant compte des prévisions du JTWC, Maurice qui est la plus concernée par ce phénomène devrait rester à l'écart des vents les plus violents. Mais un certain doute persiste quant à la trajectoire du CTTI, témoin la zone d'incertitude sur la carte de prévision du JTWC qui part de la Réunion jusqu'au delà de Rodrigues.
On reste donc prudent car tout peut arriver avec des systèmes très puissants qui peuvent dans certains cas modifier leurs environnements et donc leurs trajectoires.
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