L’arabica a bondi de près de 60% depuis le début de l’année, et le sucre de 20% en un mois.
C’est l’effet du réchauffement climatique. L’un des hivers les plus chauds d’Europe depuis 1900 et une sécheresse historique au Brésil en janvier et février. Les agriculteurs brésiliens attendent avec impatience les premières pluies pour sauver leurs récoltes. Mais les marchés anticipent d’ores et déjà une baisse de la production de café et de canne à sucre, qui pousse les prix mondiaux à la hausse.
Sur le seul mois de février, les cours du sucre roux coté à New York ont grimpé de 20%, atteignant en fin de semaine 17,76 dollars la livre. La hausse à Londres sur le sucre blanc raffiné est de 18%: il cotait vendredi 484,70 dollars la tonne. «La baisse des derniers mois est effacée, les prix du sucre étaient tombés fin janvier à leur plus bas niveau depuis juin 2010. Le rebond est lié à un seul élément, la sécheresse au Brésil, un pays qui couvre à lui seul le quart de la production mondiale», explique Gauthier Le Molgat, associé d’Agritel, société de conseil sur les marchés agricoles. La baisse de production pourrait être toutefois contenue par une extension des surfaces cultivées dans le centre du pays, principale région dédiée au sucre.
Source: lefigaro
C’est l’effet du réchauffement climatique. L’un des hivers les plus chauds d’Europe depuis 1900 et une sécheresse historique au Brésil en janvier et février. Les agriculteurs brésiliens attendent avec impatience les premières pluies pour sauver leurs récoltes. Mais les marchés anticipent d’ores et déjà une baisse de la production de café et de canne à sucre, qui pousse les prix mondiaux à la hausse.
Sur le seul mois de février, les cours du sucre roux coté à New York ont grimpé de 20%, atteignant en fin de semaine 17,76 dollars la livre. La hausse à Londres sur le sucre blanc raffiné est de 18%: il cotait vendredi 484,70 dollars la tonne. «La baisse des derniers mois est effacée, les prix du sucre étaient tombés fin janvier à leur plus bas niveau depuis juin 2010. Le rebond est lié à un seul élément, la sécheresse au Brésil, un pays qui couvre à lui seul le quart de la production mondiale», explique Gauthier Le Molgat, associé d’Agritel, société de conseil sur les marchés agricoles. La baisse de production pourrait être toutefois contenue par une extension des surfaces cultivées dans le centre du pays, principale région dédiée au sucre.
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